mardi 24 juillet 2012

[On a marché sous la Main de Dieu]


Back from the mountains… Retour en plaine après deux jours passés en altitude, entre Val d’Escreins et Vallée de Ceillac avec pour point de bascule (haut), la Colette Verte et ses 2900 m.
Un peu plus de 1100 m d’ascension sous la Main - bienveillante et protectrice – de Dieu…
Le moins que l’on puisse dire c’est que le vallon Claus porte bien son nom (clôt), tant son accès n’est pas chose aisée, surtout lorsque l’on est lourdement chargé.

Le « passage des câbles » - sorte de via ferrata facile – réclame en effet du muscle et du souffle pour se hisser avec sa lourde et volumineuse charge jusqu’à l’entrée du Vallon.

Une fois ce « verrou » vertical sauté et une longue pente herbeuse et caillouteuse gravie, on bascule proprement dit dans un vallon claus exclusivement minéral dont les frontières naturelles arborent des allures dolomitiques. En se retournant pour jauger le chemin parcouru, on mesure alors – en levant les yeux au ciel - que l’on a marché sous la Main de Dieu…