
L’appel de la forêt
The call of the wild
L’histoire de CHILKOOT – La Compagnie Des Pionniers commence véritablement à la fin du XIXème siècle, très exactement au cœur de l’hiver 1897-1898, alors que près de 30 000 chercheurs d’or, les « stampeders », venant de San Francisco et d’ailleurs via Skagway et Nome en Alaska, s’attaquent au terrible Chilkoot Pass, unique point de passage pour « basculer » vers le Yukon et l’or promis, quelque part du côté de Dawson City au canada…
Pendant l’hiver 1997-1998, soit très précisément cent ans après la mythique « Gold Rush », Luc Royer assiste au passage de « La Croix du Sud », course internationale d’attelages de chiens de traîneaux, sur les hauteurs de Valmeinier en Maurienne.
Sa première rencontre avec des mushers d’exception qui font passer avec détermination leurs attelages aux sommets de cols à plus de 3 000 mètres malgré le déchaînement des éléments, lui rappellent les pionniers du Klondike assoiffés d’or que rien ni personne ne pouvait arrêter dans leur périple de 700 kilomètres vers Dawson, pas même les 500 marches taillées dans la glace et les fréquentes avalanches du Chilkoot Pass…
Dans la foulée, au cœur d’une forêt de mélèzes du Queyras, CHILKOOT – La Compagnie Des Pionniers prend naissance et l’association du même nom est créée en avril 1998 à Marseille. Après un col « rentré » dans l’histoire, c’est désormais une marque d’outdoor qui portera le nom mythique de Chilkoot.
Cette même année, Luc Royer est rejoint par le photographe marseillais Henri Berthe. Ensemble, des forêts profondes et villages de bois du Queyras aux solitudes blanches de Maurienne en passant par l’Ardèche, les hauts plateaux du Var ou bien encore le littoral méditerranéen, ils constituent un recueil unique d’images d’aventure « chassées » au Leica puis « couchées » sur le papier baryté.
L’aventure comme art de vivre
Source inépuisable de la communication originelle de Chilkoot, cette collection en noir et blanc présente des femmes et des hommes contemporains, aux visages empreints de « l’aventure comme art de vivre ». On les dirait tout droit sortis du XIXème siècle…
Dès cette date, la marque adopte un logo évocateur de ces origines puisées, « au cœur de la terre » des pays d’en haut…
Tout naturellement, le premier logo est illustré d’un attelage de chiens de traîneau, symbolisant à lui seul le voyage extraordinaire de ces fameux pionniers de la Ruée parmi lesquels figurait le célèbre Jack london et sources d’inspiration de nombreux romans de Bernard Clavel.

Des abysses de la terre jusqu’à la lune...
Si le logo arbore dans un premier temps un attelage vu de trois-quarts avant, il est remplacé courant 1999 par un nouvel attelage vu cette fois de profil au superbe musher sans visage que l’on doit au graphiste marseillais Bruno Perrin-Turenne. Une belle empreinte frappée de huit lettres marquées au fer rouge et soulignée de la mention à vocation communautaire La Compagnie Des Pionniers. Cette identité de marque s’inscrira sur des banderoles, drapeaux et premiers vêtements avant de s’effacer au début 2007 pour laisser place à un nouveau logo. Cette troisième version est une création du Directeur Artistique grenoblois Axel Blanchet. Surligné des symboles alchimiques des quatre éléments – AIR – TERRE – FEU – EAU, la touche orange du feu vient s’ajouter à la dominante « black & white » historique du logo. Plus moderne et moins segmentant, cette troisième version du logo invite tous les pionniers du troisième millénaire à se rappeler l’aventure de ces chercheurs d’or qui un jour, comme eux, ont entendu « l’appel de la forêt ».
Le véritable voyage initiatique commence parmi les quatre éléments, des abysses de la terre jusqu’à la Lune…
The call of the wild
L’histoire de CHILKOOT – La Compagnie Des Pionniers commence véritablement à la fin du XIXème siècle, très exactement au cœur de l’hiver 1897-1898, alors que près de 30 000 chercheurs d’or, les « stampeders », venant de San Francisco et d’ailleurs via Skagway et Nome en Alaska, s’attaquent au terrible Chilkoot Pass, unique point de passage pour « basculer » vers le Yukon et l’or promis, quelque part du côté de Dawson City au canada…
Pendant l’hiver 1997-1998, soit très précisément cent ans après la mythique « Gold Rush », Luc Royer assiste au passage de « La Croix du Sud », course internationale d’attelages de chiens de traîneaux, sur les hauteurs de Valmeinier en Maurienne.
Sa première rencontre avec des mushers d’exception qui font passer avec détermination leurs attelages aux sommets de cols à plus de 3 000 mètres malgré le déchaînement des éléments, lui rappellent les pionniers du Klondike assoiffés d’or que rien ni personne ne pouvait arrêter dans leur périple de 700 kilomètres vers Dawson, pas même les 500 marches taillées dans la glace et les fréquentes avalanches du Chilkoot Pass…
Dans la foulée, au cœur d’une forêt de mélèzes du Queyras, CHILKOOT – La Compagnie Des Pionniers prend naissance et l’association du même nom est créée en avril 1998 à Marseille. Après un col « rentré » dans l’histoire, c’est désormais une marque d’outdoor qui portera le nom mythique de Chilkoot.
Cette même année, Luc Royer est rejoint par le photographe marseillais Henri Berthe. Ensemble, des forêts profondes et villages de bois du Queyras aux solitudes blanches de Maurienne en passant par l’Ardèche, les hauts plateaux du Var ou bien encore le littoral méditerranéen, ils constituent un recueil unique d’images d’aventure « chassées » au Leica puis « couchées » sur le papier baryté.
L’aventure comme art de vivre
Source inépuisable de la communication originelle de Chilkoot, cette collection en noir et blanc présente des femmes et des hommes contemporains, aux visages empreints de « l’aventure comme art de vivre ». On les dirait tout droit sortis du XIXème siècle…
Dès cette date, la marque adopte un logo évocateur de ces origines puisées, « au cœur de la terre » des pays d’en haut…
Tout naturellement, le premier logo est illustré d’un attelage de chiens de traîneau, symbolisant à lui seul le voyage extraordinaire de ces fameux pionniers de la Ruée parmi lesquels figurait le célèbre Jack london et sources d’inspiration de nombreux romans de Bernard Clavel.

Des abysses de la terre jusqu’à la lune...
Si le logo arbore dans un premier temps un attelage vu de trois-quarts avant, il est remplacé courant 1999 par un nouvel attelage vu cette fois de profil au superbe musher sans visage que l’on doit au graphiste marseillais Bruno Perrin-Turenne. Une belle empreinte frappée de huit lettres marquées au fer rouge et soulignée de la mention à vocation communautaire La Compagnie Des Pionniers. Cette identité de marque s’inscrira sur des banderoles, drapeaux et premiers vêtements avant de s’effacer au début 2007 pour laisser place à un nouveau logo. Cette troisième version est une création du Directeur Artistique grenoblois Axel Blanchet. Surligné des symboles alchimiques des quatre éléments – AIR – TERRE – FEU – EAU, la touche orange du feu vient s’ajouter à la dominante « black & white » historique du logo. Plus moderne et moins segmentant, cette troisième version du logo invite tous les pionniers du troisième millénaire à se rappeler l’aventure de ces chercheurs d’or qui un jour, comme eux, ont entendu « l’appel de la forêt ».
Le véritable voyage initiatique commence parmi les quatre éléments, des abysses de la terre jusqu’à la Lune…